Ce qu'il y a de frappant, dans les romans de Balzac, c'est leur manière de tout expliquer, leur volonté de ne pas laisser de zone d'ombre. Il faut que tout apparaisse, que tout soit signifiant.Les milieux sociaux déterminent les comportements. Une duchesse...
Lire la suiteLa petite musique nostalgique de Laure Chappuis fait mouche. Son récit, LEnfant papillon, parle d'adolescence. Plus particulièrement d'une jeune fille qui se retrouve enceinte, et qui abandonnera l'enfant, à cause des pressions familiales. Une histoire...
Lire la suite« J'entrai dans la maison chercher une bouteille et deux verres. On n'a pas fréquenté durant des années un Utrillo ou un Modigliani, qui étaient des sacripants et les plus foutus ivrognes de Montmartre et de Montparnasse, sans savoir comment traiter un...
Lire la suiteTel que vous me voyez ( c'est une image!) tel que vous me voyez, donc, je sors d'un apéro. Ah, bien sûr, on n'est pas trop étonné au fond à gauche. A droite non plus, d'ailleurs. Mais c'était un apéro d'auteur, ce qui donne à la chose toute sa noblesse....
Lire la suiteLa sélection du Roman des romands (sur le Roman des romands, voir ici) est faite. Elle a été annoncée hier dans une salle d'apparat du gouvernement genevois, avec conseiller d'Etat, directeurs de l'instruction publique, hommes politiques, et tout de même...
Lire la suiteQuand je lisais du Cendrars à vingt ans, plus particulièrement ses œuvres autobiographiques, ce qui m'intéressait surtout, c'était le personnage qu'il se fabriquait: l'aventurier et le buveur, coureur de bordels, connaissant tous les ports, tous les bars,...
Lire la suite"Si on se laissait aller à aimer les gens gentils, la vie serait atroce." Louis-Ferdinand Céline
Lire la suiteLa chose qui m'a le plus étonné en lisant Les souffrances du jeune Werther (1774), c'est le grand intérêt du livre. Je m'attendais au pire. Tout était réuni pour m'effrayer. Un chef-d'œuvre du romantisme. Un roman épistolaire. Le génie de Goethe.Eh bien...
Lire la suiteJe m'aperçois que je ne vous ai pas encore parlé du numéro de mai de la revue Coaltar. Vite, le début de l'éditorial, pour vous donner envie. Il est de Jean-Jacques Bonvin: « La fin, les derniers mots, les souvenirs qui naissent de ces mots, le rebond...
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