"Certaines tribus améro-indiennes, me racontait Jean-Claude Berger, dessinaient sur le sable puis laissaient le flot effacer les signes, empêchant l'art par l'effacement du temps: et comme, par ailleurs, le raffinement du rapport humain avait atteint...
Lire la suiteLe poète Jacques Tornay (voir ici, ici et ici) rend hommage sur ce blog à son ami Vital Bender, poète décédé en 2002 (voir ici, ici et ici). Ci-dessous, la dernière partie de son texte. (La première est ici, la deuxième ici, la troisième ici). En 1995...
Lire la suiteOn se retrouve encore une fois, ici, dans ces intrigues qui font ressembler la préparation d'un mariage à celle d'un coup d'état. Ça se passe dans le milieu des petits bourgeois, et c'est censé illustrer leur existence, leurs valeurs, leurs intérêts....
Lire la suiteDe retour dans les montagnes. Il y a plein de gens en combinaison de ski dans les rues du village. De la fenêtre de la cuisine, un café à la main, je les vois pesamment chargés de skis et de bâtons, lourdement chaussés, emmitouflés, un casque sur la tête,...
Lire la suiteJ’ai eu un peu peur, en me mettant à parler de cet ouvrage, de recevoir la même volée de bois vert que lorsque j’avais donné mes impressions sur Les Amants du spoutnik. Les admirateurs de Murakami s’étaient manifestés. « Un crime de lèse-majesté », avait...
Lire la suiteLe poète Jacques Tornay (voir ici, ici et ici) rend hommage sur ce blog à son ami Vital Bender, poète décédé en 2002 (voir ici, ici et ici). Ci-dessous, la troisième partie de son texte. (La première est ici , la deuxième ici.) Dans toute rencontre publique...
Lire la suiteFigurant parmi les meilleures ventes actuelles des Editions de L'Aire, Le gris du Gabon parle des réfugiés. Mais c'est à la manière de Corinne Desarzens.Qu'on ne s'attende pas à des faits, des analyses, de la politique. On suit Ariane qui donne des cours...
Lire la suiteC'est la République des livres qui signale (le 12 février) cet extrait de film où on voit Céline, ou plutôt le docteur Destouches, figurant dans un film de Jacques Deval, Tovarich, de 1935. Il sort d'une épicerie. Céline ACTEUR FIGURANT dans Tovaritch...
Lire la suiteIl y a toujours, chez moi, dans ma traversée de Proust, un moment qui est un peu un trou noir, entre La Prisonnière et La Fugitive ( Albertine disparue ). Ce sont ces centaines de pages consacrées à la jalousie.Soudain, là, cet univers proustien si clair,...
Lire la suiteProust a fait de la scène finale de ce roman un pastiche. Ce n'est pas la seule chose qu'il ait reprise à Balzac, pour qui son personnage, le baron de Charlus, éprouvait beaucoup d'admiration. La scène de séduction du narrateur par Charlus, par exemple,...
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