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    Heidi, par Johanna SpyriDécidément, il faut entrer dans le jeu. Sommé par JLK   et Calamityje me décide à répondre au fameux questionnaire qui tourne sur le web.
    C'est un peu comme ces chaînes de Saint Antoine, vous savez. Une lettre anonyme qui vous promet les plus grands bonheurs si vous la réexpédiez à dix personnes et les plus grands malheurs si vous ne le faites pas.
    Bon. Ici, comme il s'agit de bonheurs de lectures (ou du malheur de passer à côté de bons livres), on peut s'exécuter.
    Les quatre livres de mon enfance :
    Heidi, de Johanna Spyri. Sans famille d'Hector Malot. Les club des 5/clan des 7 d'Enyd Blyton, et l'encyclopédie que mon voisin instituteur me permettait de lire, volume après volume (merci Gustave !)
    Les quatre écrivains que je lirai et relirai encore : trois évidences. Proust, Céline et Diderot.
    Ensuite, je regarde ma bibliothèque et je suis désespéré. Stend... Bernan... Non : Nabokov !
    Les quatre premiers livres de ma liste à (re)lire 
    : Anne Wiazemsky, Canines. Proust, A l'ombre des jeunes filles en fleur. Ramuz, Présence de la mort. Cendrars, Bourlinguer.
    Les quatre auteurs que je ne lirai plus jamais 
    : Il ne faut jamais dire : « Fontaine, je ne boirai pas de ton eau ! » Dans un chalet coupé par la neige ou une île déserte...
    Quatre livres à emporter dans une île déserte : A la recherche du temps perdu,  (décidément !) Ada ou l'ardeur, Les amours du chevalier de Faublas, Don Quichotte.
    Les derniers mots d'un de mes livres préférés 
    : « - dans le Temps » (décidé-décidément) !
    Les quatre lecteurs qui ont encore échappé à ce questionnaire mais plus pour longtemps : Vas-y Michel !  Qu'en penses-tu, Pandar ?   Tu ne t'es pas encore lancé, Pitou ? Et que tout le monde aille voir les goûts de la grande, la belle, la seule, l'unique, la magnifique Mauricette, tout en haut de son étoile inaccessible et dans sa célèbre anthologie du veau dans la littérature mondiale !